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Activité culturelle (Musée Wellington)

J’ai visité ce musée avec mon père le 10 septembre. Je m’intéresse à l’histoire occidentale et La bataille de Waterloo est un des événements le plus décisif en Europe. Le musée Wellington est différent en comparaison avec des autres musées portant sur cette bataille, parce que ce musée prend comme perspective le côté de Wellington, son plan et la mise en œuvre. Il y avait plus de 10 chambres dans le musée, tout équipé par des explications, des images et des objets historiques. D’une part, je m’intéresse au pouvoir dans l’histoire et la guère fait partie de cette question. D’autre part, je trouve que toutes les guères sont futiles, c’est comme une destruction réciproque. C’est pourquoi, normalement, je n’aime pas les batailles historiques, car ce n’est que par la terreur qu’un côté peut gagner. De plus, je m’intéresse moins aux détails d’une bataille, les armes, la stratégie, vu que c’est quelque chose de pratique et je n’ai jamais porté une arme (le couteau inclut). Néanmoins, le musée a donné une perspective que je ne connais pas par rapport à la bataille de Waterloo. Les opposants de Napoléon ont obtenu un visage, celui de Arthur Wellesley, un stratège génial qui a mis fin de la domination de Napoléon. C’était curieux que la plupart des morts dans la bataille sont décédée à cause de maladie. On ne réalise pas toujours que l’hygiène à ce moment était terrible. Souvent, les médecins militaires n’étaient pas capables de guérir les malades et les blessés. Le choix était souvent entre mourir et amputation. Il y avait aussi une chambre consacrée au rôle des Pays-Bas dans la bataille. Pourtant, en gros, c’est difficile pour moi de retenir toutes les informations de cette bataille. En tout cas, ce musée m’a donné une vision plus nuancée concernant les guères historiques. Il est important, pour chacun, de savoir plus de cette bataille que la chanson fameuse d’ABBA.

Différences interculturelles (le transport)

Pendant les premières semaines de mon séjour à Zaventem, j’ai vu beaucoup de choses concernant le transport en Belgique. Vu que j’ai voyagé à l’Université de Groningue par les transports communs chaque jour, je peux comparer les deux types de transport. Les Pays-Bas sont connus pour leur infrastructure, notamment la qualité de l’infrastructure et la vitesse du transport. À mon avis, cette caractérisation porte du sens. Je n’ai pas eu des problèmes insurmontables aux Pays-Bas, mais je dois admettre qu’ à Bruxelles, le transport est plus chaotique. Pour acheter un abonnement étudiant pour le train, j’ai dû régler beaucoup pour acquérir cet abonnement. C’est la fameuse bureaucratie belge. La première différence concernant le transport, c’est le bilinguisme. C’est intéressant de comparer mon expérience aux Pays-Bas à mon expérience en Belgique, vu que mon transport entre ma maison et l’université de Groningue était aussi bilingue. À Bruxelles, les contrôleurs s’en approchent de manière bilingue, en disant ‘’Bonjour/Goedendag’’. Aux Pays-Bas, même si les gares sont aussi annoncées de manière bilingue (à proximité de la Frise), les contrôleurs ne parlent jamais le frison pour communiquer. Ce qui est aussi intéressant, c’est le fait que les contrôleurs belges s’habillent de manière traditionnelle, dans une uniforme avec un chapeau. Il y en a toujours un seul contrôleur à Bruxelles, ce qui est impensable aux Pays-Bas (où il y en a toujours plusieurs contrôleurs) à cause des incidents violents entre le voyageur (sans titre de transport valable) et le contrôleur. Il y a probablement un lien entre le degré d’autorité dans une société et la volonté de se comporter. Il est évident qu’en Belgique, il y a une autorité forte, ce qui peut fonctionner sans des incidents violents. Aux Pays-Bas, on pourrait en prendre de la graine!

Whitney (2018) au cinéma

(première activité culturelle)

Le jour après mon arrivée (le 9 septembre), j'ai visité le cinéma au centre avec mon père. Il voulait voir ce film, parce qu'il était un grand fan de Whitney Houston. Moi, je m'intéressait beaucoup à ce film, vu que la vie de Whitney (ou Nippy, son mot d'affection) est entourée de grand succès et d'une grande chute. Mis en scène par Kevin Macdonald, ce film commence par sa jeunesse. Elle habitait dans un cartier pauvre de New Jersey. Sa mère était chanteuse elle-même et la famille chantait toujours dans la maison. Une des premières phrases prononcée par sa mère, Cissy Houston, était: ''Il y a trois façons de chanter: chanter avec ton diaphragme, avec ta poitrine et avec ton coeur.'' Cissy a enseigné Whitney de chanter au plus haut niveau et après avoir simulé une maladie pour encourager Whitney de substituer sa mère dans un concert, Whitney était exposée au monde entier. Le succès de Whitney va de soi, mais ce succès s'accompagnait de la drogue aussi. De plus, toute sa famille a soutenu sa carrière, mais ils en ont profité aussi. C'est évident que le succès n'est pas seulement positif. Au début, la liaison entre Whitney Houston et Bobby Brown était forte, un vrai ''power couple''. Pourtant, particulièrement après le film ''the bodyguard'' (dans lequel elle était la vedette), elle a dépassé la popularité de son partenaire, ce qui était problématique pour leur liaison. Concernant ''la chute'' de Whitney Houston, sa voix était partiellement détruit par la drogue. De plus, elle était personnellement détruite par la trahison de son père, qui a revendiqué millions d'euros d'elle (après avoir profité de sa carrière). Finalement, les tentatives de se désintoxiquer ont échoué et elle a été retrouvée morte par sa tante dans une baignoire. Le mystère de sa mort est souvent expliquée par l'effet de la drogue, mais Bobbi Brown n'est pas d'accord, ''Ce n'était pas la drogue qui a tué Whitney.'', il disait. En tout cas, se fixer trop sur la fin de sa vie est une méconnaissance de tout ce qu'elle a accompli.


Wouter Horjus